Ageratum conyzoïdes (Akaziraruguma, Herbe à bouc, Billygoat weed )

Pour soigner blessures, affections cutanées et troubles articulaires

Akaziraruguma Ageratum conyzoïdes

Ageratum conyzoides est une herbacée annuelle de la famille des Astéracées. Son nom botanique, Ageratum, dérivé du grec « a geras » : « qui ne vieillit pas », fait référence à la longévité de la plante et de sa floraison.

En français, la plante est appelée Baume blanc, ou Herbe à femme du fait de sa réputation de plante atténuant les douleurs menstruelle,ou encore Herbe de bouc à cause de l’odeur des feuilles froissées...

Comme cette plante est cosmopolite, elle a de nombreux nom vernaculaires :
- Appa grass, Billygoat weed, Chickweed, Tropical whiteweed.... en anglais
- kimavi cha kuku en Kiswahili,
- Gathenge en Kikuyu
- Jangli pudina, Visadod en i, Semandulu, Gha buti, Bhakumbar en Hindi
- Bhedaa Jhaar népalais
- Mentrasto en portugais brésilien
- Cebollina ou hierba del chivo en espagnol
...

Description

Cette plante a des racines fasciculées, fibreuses peu profondes.

Elle atteint une hauteur de quarante centimètres à plus d’un mètre.

Sa tige cylindrique teintée de rouge et velue est plus ou moins dressée.

Ses feuilles sont opposées, pétiolées* et régulièrement dentées ; leurs deux faces couvertes d’un duvet de poils fins et courts sont douces au toucher ; quand on les froisse, elles dégagent un parfum caractéristique qui lui vaut le surnom d’Herbe de bouc en français et de hierba del chivo en espagnol.

Ses fleurs sont rassemblées en petits capitules* terminaux compacts ; leur couleur varie du blanc, au mauve ou bleu pâle.

Ses fruits sont des akènes* noirs.

Récapitulatif des caractéristiques anatomiques de Ageratum conyzoides

(A) Plante dans son milieu ; (B) racine (roots) de type fasciculé ; (C) feuilles simples (leaves), faces abaxiales (ab) et adaxiales (ad) ; (D) détail du capitule (flowers), de couleur mauve ; (E) Tige (stems) et feuilles (leaves) opposées. Mesures : B, C et D = 2 cm ; E = 5cm. Source du document

Habitat

Ageratum conyzoides est une espèce originaire d’Amérique tropicale, introduite en Afrique au moment de la colonisation et incorporée par la suite à la pharmacopée de ce continent.

Ageratum conyzoides a besoin de suffisamment d’humidité et de lumière pour se développer. Au Rwanda, on la rencontre plutôt en saison des pluies sur les flancs des collines, dans des zones perturbées par l’activité humaine : jachères, bords de routes et de marais.

Propriétés

Akaziraguma est une plante aromatique, astringente, amère et mucilagineuse.

Ses principes actifs ont des propriétés anti-inflammatoires, antibactériennes, antispasmodiques, hypoglycémiantes, analgésiques, antirhumatismales, antidiarrhéiques, fébrifuges, diurétiques, carminatives, toniques.

Principaux constituants

Quelque 160 composés ont été identifiés dont les fractions brutes ont montré des activités pharmacologiques multiples. Parmi les principales molécules actives, on peut citer des flavonoïdes et des alcaloïdes, des coumarines et des tanins, ainsi que des terpénoïdes et chromèbes....

La plupart de ces composés se sont révélées non dangereux, toutefois la plante contient en faible quantité des alcaloïdes (lycopsamine et de l’echinatine toxique et potentiellement dangereux pour la santé selon la dose administrée. Malgré les recherches phytochimiques poussées, l’état des connaissance ne permet pas à ce jour d’établir de manière précise la correspondance entre les activités pharmacologiques mises en évidence, les mécanisme responsable de ces activités et les composés actifs identifiés

Principales indications traditionnelles

En Kinyarwanda Akaziraguma signifie : « qui s’en prend à la blessure ». Ce nom renvoie à l’indication thérapeutique principale de la plante en médecine traditionnelle rwandaise. « Inguma » : les blessures ouvertes ; « Ubukomereke » : les blessures, coupures, lésions, crevasses ; « ibisebe » les plaies peuvent en effet être soignées par application sur les zones blessées de tige feuillées ou de feuilles seules d’Akaziraguma.

- Pour faciliter la cicatrisation, le jus des feuilles peut être pressé sur la plaie qui est recouverte ensuite de feuilles meurtrie mais entières.

- La poudre de plante sèche peut aussi être appliquée sur les coupures et les plaies. La poudre absorbe l’humidité de la maladie et forme une couche qui est enlevée après un ou deux jours. Ce traitement est réputé efficace pour la plupart des coupures et des plaies.

- L’application d’un cataplasme de feuilles pilée peut aussi aider à extraire une épine ou une écharde.

- En usage externe Akaziraguma est également réputé soigner les maladies de peau, calmer les éruptions cutanées, aider la cicatrisation des brûlures, soigner les ecchymoses et traiter les ulcères cutanés.

- Outre les modes d’application déjà cités, un usage courant consiste à se baigner ou baigner la partie du corps affectée dans une eau où des feuilles de la plante ont infusé.

- Pour le traitement des maladies de la peau, un cataplasme chaud de tiges feuillées est aussi appliqué sur la zone affectée.

- Le jus de capitules fleuries est plus particulièrement appliqué pour traiter la gale.

- L’application externe de la plante soulage aussi les contusions, les entorses, et les rhumatismes en restituant une meilleure mobilité articulaire.

- Pour soulager les entorses, la partie affectée est massée avec un mélange de feuilles écrasées et d’huile de palme.

- La plante est en outre utilisée comme insectifuge en application sur la peau ou par fumigation.

- On peut enfin citer un usage cosmétique de la plante : la décoction de plante fraîche utilisée pour laver les cheveux, est réputée laisser les cheveux doux et sans pellicules.

On notera que les différentes indications concernant les affections cutanées se retrouvent dans de nombreuses traditions médicinales d’Afrique (Burundi, Ouganda, RDC, Kenya, Sierra Leone, Burkina Faso...), d’Amérique centrale et du sud (Brésil), des Caraïbes (Martinique, Guadeloupe...) du sous-continent indien (Inde, Sri Lanka, Népal), et d’Asie (en médecine chinoise notamment).

Données des recherches pharmacologiques

L’étude scientifique de Ageratum conyzoides étaye la pertinence des indications thérapeutiques traditionnelles mentionnées plus haut en confirmant que la plante a des propriétés : « hémostatiques, anti-inflammatoires, antibiotiques, analgésiques, cicatrisantes, antiseptiques » (cf. registre des plantes d’outremer inscrites à la Pharmacopée Française en 2012).

Les feuilles sont plus particulièrement styptiques c’est-à-dire qu’elles possèdent des propriétés astringentes et hémostatiques. Les substances styptiques agissent sur la contractilité organique des vaisseaux sanguins et lymphatiques de la partie qui en reçoivent l’application.

La recherche a également confirmé que l’application de la plante avait la vertu d’apaiser les douleurs articulaires (arthrose, arthrite) et de repousser les insectes.

De nombreuses traditions médicinales préconisent Ageratum conyzoides en prise interne pour traiter fièvre, maux de ventre, rhumatisme...) mais cet usage de la plante dépassent le cadre de la phytothérapie familiale.

En effet, l’indication de la plante en voie orale ne peut se faire sans expérience médicale du fait de la toxicité de certains composés alcaloïdes de la plante. La détermination des doses non toxiques et l’indication thérapeutique de la plante ne peut se faire que sous la recommandation et le contrôle d’un professionnel de la médecine traditionnelle ou « moderne » compétent. Son usage est strictement interdit durant la grossesse.

Le lecteur trouvera des éléments d’information sur la potentielle innocuité et toxicité de la plante après le résumé des propriétés et indications potentielles de la plante en médecine familiale.

Résumé des usages de Ageratum conyzoides en médecine familial

Indications :

- Soin des atteintes cutanées : blessures, coupures, plaies, brûlures, ulcères, éruptions...

- Soulagement des entorses, douleurs articulaires

- Éloignement des insectes

Préparations et usages :

- Application de feuilles fraîches pilées, de jus de feuilles, de poudre de feuilles séchées (en emplâtre ou en cataplasme=

- Massage avec des feuilles pilées mélangées avec de l’huile

- Bain dans de l’eau où ont infusé-macéré des feuilles

Précautions d’emploi :

Dans le cadre d’une médecine familiale, la plante ne doit être utilisée qu’en usage externe. Elle contient des alcaloïdes toxiques.

Toxicité potentielle de la plante

Pour information nous communiquons une séries d’extraits de rapports et articles évaluant la toxicité d’Ageratum conyzoides.

Conclusions du ministère de la santé du Brésil sur l’usage médicinal d’Ageratum conyzoides : Brasil, Ministério da Saúde, Central de Medicamentos. 1989. Ageratum conyzoides. In : Programa de pesquisas de plantas medicinais : Primeiros resultados. Brasília.

« En 1991, la Division de la recherche (du ministère de la santé) a produit un rapport contenant les résultats des études réalisées à ce jour sur 28 espèces. Le document fournissait un diagnostic de l’espèce selon les modèles de recherche scientifique auxquels elles avaient été soumises : pharmacologie préclinique, étude clinique, toxicologie chez l’homme et toxicologie animale.

Selon les résultats cités, l’action thérapeutique de 6 espèces aurait été confirmée :

- Ageratum conyzoides (Mentrasto),
- Cecropia glazioui (Embauuba),
- Maytenus ilicifolia (Espinheira santa),
- Mikania glomerata (Guaco),
- Passiflora edulis (Maracujá - Passiflore, Fruit de la passion)
- Phyllanthus niruri (quebrapedra - Brise de pierre, Herbe au chagrin, petit tamarin blanc)

Ageratum conyzoides (mentrasto)

Cas no 18545/87 Les recherches visant à effectuer des études pharmacodynamiques et toxicologiques précliniques de cette espèce ont donné les résultats suivants :

a. En ce qui concerne l’action pharmacodynamique, les animaux traités avec l’infusion de la plante présentaient une sédation et une légère dyspnée.

b. L’extrait administré par voie intraveineuse a entraîné une hypotension. Oralement, aux doses (1,0 et 2,0 g / kg), il n’y a pas eu de changement du temps d’induction ou de récupération du sommeil produit par le pentobarbital chez l’animal.

c. En ce qui concerne la toxicité aiguë, il n’y a pas eu de changement de comportement macroscopique ou microscopique après traitement dans les organes soumis à une analyse anatomopathologique.

e. En ce qui concerne la toxicité chronique, à l’exception de la légère augmentation du nombre de transaminases, toutes les données sont dans les limites de la normale. (Avis technique n ° 052/89)

Les résultats de l’étude clinique évaluant l’action analgésique et la tolérabilité de l’infusion d’Ageratum conyzoides dans les douleurs locomotrices chroniques, en particulier dans les cas d’arthrose, ont démontré l’efficacité et la sécurité thérapeutique de l’utilisation de cette espèce dans le traitement de l’arthrose.

[Marques-Neto J. F. et al.« Ageratum conyzoides Linée no tratamento da artrose. In : Simpósio de plantas medicinais », 10., São Paulo : [s.n.], 1988.]

Ageratum conyzoides L. (« mentrasto » en portugais brésilien) est une espèce originaire d’Amérique tropicale, introduite en Afrique au moment de la colonisation et incorporée à la pharmacopée de ce continent.

Au Brésil, la plante est considéré comme une adventice invasive des cultures et des zones non cultivées.

Une recherche a été menée pour évaluer l’action analgésique potentielle de l’extrait aqueux préparé à partir de ses parties aériennes. Les résultats cliniques ont confirmé ses avantages dans le traitement de l’arthrose et n’ont pas attribué de toxicité à cette espèce.

La population brésilienne utilise aussi traditionnellement la plante pour soulager les crampes, en particulier les crampes menstruelles.

Une étude préclinique avec sa fraction hydrosoluble a montré que cette espèce exerce une action spasmolytique et myorelaxante

[Silva, M. J. & al. R. « Effects of the water soluble fraction leaves of Ageratum conyzoides on smooth muscle ». Phytotherapy Research, [S.l.], v. 14, p. 130-132, 2000.]

Une recherche préclinique réalisée avec son extrait éthanolique a montré que Ageratum conyzoides ne présentait pas d’hépatotoxicité et avait une activité gastroprotectrice dans les ulcères gastriques induits de manière expérimentale.

[Shirwaikar, A. et al. « The gastroprotective activity of the ethanol extract of Ageratum conyzoides. J Ethnopharmacol, [S.l.], v. 86, p. 117-121, 2003.]

Une étude de 2005, confirme également les propriétés anti-inflammatoire de Ageratum conyzoides, sans apparente hépatotoxicité. [A.C.A. Moura & al, « Antiinflammatory and chronic toxicity study of the leaves of Ageratum conyzoides L. in rats  ». Phytomedicine Volume 12, Issues 1–2, 10 January 2005, Pages 138-142]

Selon une étude de 2007, Ageratum conyzoide peut être utilisée de manière non dangereuse en voie interne :

« In Les résultats de ces travaux ont montré que l’extrait d’Ageratum conyzoides à la dose de 500 et 1000 mg ", administré par voie orale et quotidiennement pendant un mois, n’a montré aucun effet toxique chez le rat. Ceci, associé à la haute valeur de LD50, confirme qu’Ageratum conyzoides est sans danger pour une utilisation en ethnomédecine. »

Yuwadee Trongtokit, Yupha Rongsriyam, Narumon Komalamisra and
Chamnarn Apiwathnasorn « Studies on the toxicity of Ageratum conyzoides. » Journal of Pharmacy and Pharmacology · August 2007.

Deux articles, l’un publié en 2011 l’autre en 2013 tempèrent les affirmations d’innocuité de l’administration interne de Ageratum conyzoides.

N Nyunaï & al. « Acute and Subchronic Oral Toxicity of Aqueous Extract of Ageratum Conyzoides Linn. » West African Journal of Pharmacology and Drug Research, vol 27, 2011.

« La plante entière, les feuilles et plus rarement les racines de Ageratum conyzoides (Astéracées) ont une valeur en médecine traditionnelle partout où elle croît et est peu toxique pour les êtres humains. Cependant il est nécessaire d’évaluer le potentiel de toxicité aigüe et subchronique de l’extrait aqueux total de Ageratum conyzoides (A. conyzoides) chez les rats. Pour l’étude de toxicité aigüe, l’extrait aqueux de Ageratum conyzoides a été administré aux rats Wistar en doses uniques de 3 à 13 g/kg par gavage. Le comportement général, les effets indésirables et la mortalité des animaux a été enregistrée pendant 14 jours. Pour le test de toxicité subchronique des doses de 200, 400, 600 et 800 mg/kg ont été utilisées pour les deux sexes. Les études phytochimiques de l’extrait aqueux ont révélées la présence des alcaloïdes pyrrolizidiniques, des tanins, des saponines, flavonoïdes et des polyphénols. La dose létale médiane (DL50) de l’extrait aqueux a été estime supérieur à 13g/kg. Par la suite, l’extrait aqueux a montré des effets sédatifs et analgésiques dose-dépendante. Le test de toxicité subchronique n’a pas montré d’effets ni sur le poids corporel, ni sur la consommation alimentaire ou la prise d’eau. Cependant, les études histologiques ont révélées que l’extrait causait des lésions doses dépendantes, caractérisée par des anomalies hépatorénales corrélées avec le niveau élevé de l’activité des transaminases et l’hyperleucocytose à la dose de 800 mg/kg. Les concentrations d’hémoglobine et d’hématocrite étaient aussi élevées dans tous les groupes traités à l’extrait.. »

Bosi, Cristiane F.& al. « Pyrrolizidine alkaloids in medicinal tea of Ageratum conyzoides ». Revista Brasileira de Farmacognosia volume 23, issue 3 (2013)
Conclusion :

« Dans cette étude, des alcaloïdes pyrrolizidiniques hépatotoxiques et tumorigènes et des alcaloïdes de N-oxyde pyrrolizidine ont été identifiés dans Ageratum conyzoides. L’utilisation d’extraits de cette plante dans des préparations médicinales pourrait potentiellement être nocive pour la santé humaine, malgré la faible teneur de ces substances dans les plantes récoltées au Brésil. Une exposition chronique à ces alcaloïdes pyrrolizidiniques toxiques peut présenter un risque d’atteinte hépatique. Dans certains pays, son utilisation clinique n’est autorisée que dans certaines limites. En Allemagne, par exemple, il est recommandé que l’exposition quotidienne aux alcaloïdes pyrrolizidiniques ne soit pas supérieure à 0,1 mg pendant moins de six semaines par an, et en Belgique, la limite pour les alcaloïdes pyrrolizidiniques dans les plantes est de 1 ppm (1 mg par gramme de plante) (Chen ; Huo, 2010). Des études toxicologiques systématiques sur Ageratum conyzoides avec une quantification précise d’alcaloïdes pyrrolizidiniques toxiques chez les plantes sont nécessaires, de même que le suivi de l’utilisation clinique de ce médicament. À ce jour, il n’existe aucune directive de sécurité établie concernant les plantes médicinales contenant des alcaloïdes pyrrolizidiques et leur utilisation au Brésil. »

Pour en savoir plus :

Base de données "Prélude" d’études ethnobotaniques africaines

Anjoo Kamboj, Ajay Kumar Saluja
« Ageratum conyzoides L. : A review on its phytochemical and pharmacological profile »

R Kaur & N K Dogra,
« A Review on Traditional Uses, Chemical Constituents and Pharmacology of Ageratum conyzoides L. (Asteraceae) ». International Journal of Pharmaceutical & Biological Archives 2014 ; 5(5) : 33 – 45

Lin Chau Ming
« Ageratum conyzoides : A Tropical Source of Medicinal and Agricultural Products »

Vishamushti – Ageratum conyzoides Linn. - Asteraceae

Jaya, Priyanka Singh, Bhanu Prakash, and N. K. Dubey
Insecticidal activity of Ageratum conyzoides L., Coleus aromaticus Benth. and Hyptis suaveolens (L.) Poit essential oils as fumigant against storage grain insect Tribolium castaneum Herbst. Journa of Food Science Technologies. 2014 Sep ; 51(9) : 2210–2215.

Mis en ligne par La vie re-belle
 15/09/2019
 https://lavierebelle.org/akaziraruguma-ageratum-conyzoides

Plantes de l’Afrique des Grands Lacs

Description des plantes adventices et cultivées en Afrique de l’Est et présentation de leurs propriétés et de leurs usages traditionnels et potentiels

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