Principes des guildes de polycultures pérennes

Un article d’Eric Toensmeier

Cet article est la traduction du texte “Guidelines for Perennial Polyculture

Dans cet article, Eric Toensmeier, co-auteur de Edible Forest Gardens expose les principes directeurs de l’élaboration de systèmes de polycultures pérennes et décrit la manière dont il transmet son expérience des guildes dans les ateliers qu’il anime.

Principes des guildes de polycultures pérennes

Un article d’Eric Toensmeier

Principes et recommandations pour des polycultures pérennes

Les polycultures pérennes ou « guildes » comme on les appelle parfois, sont un élément essentiel du design en agroforesterie et permaculture.

Il s’agit d’une association d’au moins deux espèces de plantes conçue pour minimiser la concurrence entre les plantes, optimiser la gestion et la facilité de récolte qui peut aussi inclure le bétail, les champignons cultivés et d’autres éléments.

Figure 1. (Photo Eric Toensmeier) : Association de Robinier faux acacia (Robinia pseudoacacia) et papayer américain (Asimina triloba) en milieu semi-sauvage. Le robinier forme la canopée et fixe l’azote. Le papayer est un arbre fruitier qui aime l’ombre et apprécie l’azote. Ces deux végétaux drageonnent, de sorte que cette association peut s’étendre. Notez qu’il s’agit de papayer américain Asimina triloba, et non de (Carica papaya) le papaye tropical.

Concevoir des guildes peut paraître comme une tâche déconcertante et même intimidante. Depuis plus de deux décennies, je cultive et réfléchis aux guildes . Pendant cette période, j’ai de nombreuse expérimentation de guildes ont échoué pour une raison ou une autre, et d’autres ont réussi. J’ai également visité de nombreux sites sous différents climats et observé des combinaisons de plantes pérennes qui fonctionnent très bien, en particulier sous les tropiques où les systèmes agroforestiers sont beaucoup plus avancés que chez moi en zone froide tempérée

J’ai rassemblé un ensemble de principes directeurs pour la conception des guildes, que j’aimerais partager avec vous. Ces principes sont en cours d’élaboration et sont loin d’être parfaits, mais ils ont aidé des centaines de personnes qui ont participé à mes cours et à mes ateliers à se sentir prêtes à concevoir et installer leurs propres systèmes de polycultures pérennes.

Ces lignes directrices, tirées en partie de l’observation des forêts-jardins comestibles ainsi que de l’expérience, peuvent nous aider à exploiter avec succès le fonctionnement de la nature. À plusieurs reprises, j’ai eu l’occasion d’enseigner sous divers climats. En étudiant les espèces locales, j’ai commencé à expérimenter des association de cultures pérennes et à jouer avec les guides. Plus d’une fois, à l’occasion de randonnées et j’ai vu ces mêmes combinaisons de plantes pousser dans la nature.

Figure 2. Centre écologique de Woodbine, Colorado, États-Unis. Nous avons planté des groseilles à maquereau à tige blanche indigènes sous un érable préexistant avec un sous-étage de framboises sauvages, grâce à un design utilisant les processus décrits dans cet article.

Figure 3. Canyon de Deer Creek, Colorado, États-Unis. Quelques jours après la plantation, nous avons fait une randonnée dans une zone naturelle proche, où nous avons trouvé de l’érable des montagnes Rocheuses, de la framboise indigène et de la groseille à maquereau à tige blanche poussant ensemble. La conception de la polyculture peut nous permettre de commencer, de façon très approximative, à comprendre et à anticiper la façon dont les communautés végétales fonctionnent dans la nature.

Processus de conception de guildes

La conception de guilde est une phase qui intervient assez tard dans le processus de conception de système permaculturels que Dave Jacke et moi avons décrit dans Edible Forest Gardens.

Dans une certaine mesure, la conception des associations de culture doit avoir été précédée par les étapes suivantes :

1. Définition des objectifs
2. Analyse et évaluation du site
3. Conception schématique et si possible détaillée du design du projet

Par conséquent, vous devez avoir à l’esprit un site particulier et caractériser le projet
en en spécifiant :

- les principaux produits que vous souhaitez qu’il fournisse et/ou fonctions que vous souhaitez qu’il remplisse par exemple, la production de fruits, de fourrage pour le bétail, l’accueil d’insectes auxiliaires bénéfiques, etc.)

- les conditions et le contexte de la parcelle (par exemple, ensoleillement, sol, humidité, pente, etc.)

en déterminant l’« architecture » souhaitées :

- les strates déjà présentes ou souhaitées. (Y aura-t-il de grands arbres ou seulement des arbustes et plus bas des buissons, etc. ?)

- le type et aspect du « paysage » souhaité par exemple un verger, une bosquet ou une forêt comestible, une prairie arborée, etc.

- la taille et le volume des plantes ;

- l’intensité des interventions et le modalités de gestion (quelle sera la fréquence, la diversité des soins à apporter (irrigation, interventions spéciales comme l’élagage, le taillage, le hachage et l’épandage des matériaux de paillage, etc.)

- le plan de fertilisation des sols (budget nutritionnel : fournirez-vous du compost, de l’urine, etc.

- l’infrastructure à installer (sentiers, irrigation, clôtures, etc.)

À ce stade, vous devez dresser l’inventaire des espèces envisagées. Dans la longue liste d’espèces que vous envisagez pour l’ensemble du site, sélectionnez celles qui

a) conviennent aux conditions de votre site
b) répondent à vos objectifs en ce qui concerne la taille, les utilisations et les fonctions.

Lorsque j’enseigne cet exercice, je prépare à l’avance une liste qui ressemble à ceci :

J’ajoute ensuite d’autres catégories, comme : les plantes 4-15, 2-4, 1-2. 0,5-1, et 0-0,5 mètres de haut, ainsi qu’une autre catégorie pour les plantes volubile et grimpante.

Voici un exemple pour le climat froid et humide du nord-est des États-Unis,. J’ai fusionner quelques colonnes pour qu’il s’adapte plus facilement ici.

Pour chaque région, peut être préétablie, une liste d’espèces utiles, comprenant les espèces indigènes souvent négligées.

On peut aussi ajouter ou remplacer des colonnes - par exemple, dans les régions arides, l’humidité est une variable plus importante que la lumière, ou on peut ajouter de nombreuses colonnes pour les sites complexes.

À des fins pédagogiques, je trouve qu’une seule variable de site (lumière, humidité, etc.) permet de garder les choses simples et d’enseigner le processus. Les gens peuvent toujours ajouter de la complexité plus tard, une fois qu’ils ont appris les bases.

Lorsque j’enseigne, je fournis 3 à 6 échantillons d’espèces dans chaque catégorie de taille pour que les gens puissent travailler. Dans chaque catégorie de taille, j’essaie également de fournir des espèces ayant besoin de soleil ou d’ombre, quelques comestibles, quelques fixateurs d’azote, et quelques espèces indigènes et non indigènes.

Bien entendu, si vous concevez pour votre propre usage, n’incluez que les espèces que vous souhaitez - bien que cela puisse vous aider à identifier certaines lacunes à combler, comme un couvre-sol fixateur d’azote pour l’ombre, par exemple. Ajoutez des colonnes telles que le paillis haché et laissez tomber, les espèces de bois de chauffage, la source de miel, ou tout autre élément que vous souhaitez.

Les principes directeurs

Ils sont répartis par thème. Ces thèmes ne sont pas les seuls possibles, c’est certain. Néanmoins, je les aime bien et ils se sont avérés pertinents et utiles au fil des ans pour beaucoup de mes étudiants .

Sélection des espèces

Sélectionnez les espèces qui :

- répondent à vos objectif ;

- sont tolérantes à l’égard des conditions qui y règnent ;

Restez simples : utilisez 2 à 7 espèces par association de culture

Précisez d’abord les utilisations et fonctions clés

- commencez par vos objectifs les plus importants, comme la production de fruits ou le fourrage pour le bétail)

Sélectionner des espèces ayant des besoins de gestion similaires

- plante ayant un besoin d’irrigation similaires

- plantes nécessitant le même nombre de visites par semaine (conformément au système de zones de permaculture)

Commencez par les espèces les plus hautes et descendez

.

Figure 4. Banane et papaye avec sous-étage de patates douces. Polyculture qui fonctionne bien, ici précoce sur sol urbain compacté, après application de 30 cm de litière de crottin de chevaux..

Recommandation et principe directeurs concernant l’espacement et le mode de culture

- Déterminez la taille et le volume à maturité de chaque espèce (quelle taille auront-ils lorsqu’ils grandiront sous votre conduite (taille et/ou de taillis prévu, le cas échéant)

- Définir l’espacement entre les espèces (celles qui ne se répandent pas par voie végétative) Généralement de telle sorte que les bords de leurs couronnes se touchent juste, ou idéalement un peu plus large. Cet espacement varie beaucoup en fonction du climat - dans les régions à fort ensoleillement (tropiques de plaine, hauts déserts), l’espacement peut être beaucoup plus étroit. En revanche, l’espacement devrait généralement être plus large dans les environnements plus arides.

- Réduisez l’espacement des espèces à stolons et propagation agressive que les massifs adjacents

- Planter les amateurs d’ombre sous les grandes plantes

- Garder à l’esprit les besoins de la pollinisation

- Plantez les plantes les plus grandes au nord dans l’hémisphère nord, au sud dans l’hémisphère sud.

Figure 5. Le taro est une culture racinaire qui peut tolérer 50 % d’ombre. Ici, il est cultivé sous un couvert d’acacias fixant l’azote, qui est taillé pour le bois de chauffage sur une base annuelle, libérant ainsi beaucoup de lumière solaire (il est assez ombragé au stade illustré sur cette photo).

Structuration fonctionnelle des guildes

- Plantez des végétaux fixateurs d’azote et producteur de paillage dans chaque chaque combinaison où ils seront nécessaires afin de ne pas avoir à couper et à transporter ces matériaux depuis une autre zone.

- Si tout l’azote doit provenir de plantes fixatrices d’azote, n’oubliez pas qu’elles ont besoin de 25 à 40 % de l’étage supérieur ou de 50 à 80 % du sous-étage

- Les fixateurs d’azote et les insectes bénéfiques n’ont pas besoin d’être à côté des sentiers

- Fournir une couverture complète du terrain

- Les couvre-sols à feuilles persistantes et tolérants à l’ombre sont excellents ; ils aident à combler les espaces vides

- Essayez d’inclure quelques espèces d’insectes bénéfiques dans chaque polyculture (bien que les insectes puissent voler à 15-30 mètres, ils n’ont donc pas besoin d’être à côté des cultures qu’ils protègent et pollinisent, et peuvent être regroupés en îles ou en bandes)

Figure 6. Ces avocatiers ont un sous-étage d’arachides fourragères fixant l’azote, qui tolère bien l’ombre.

Questions de séquençage

- il existe un créneau pour les cultures éphémères aimant le soleil, dans les premières années (légumes annuels, fraises, papayes, pois d’Angole, cultures de couverture fixant l’azote, etc.)
- Il faut attendre que les amateurs d’ombre aient suffisamment d’ombrage pour planter (vous seriez surpris de savoir combien de plantes d’ombre j’ai tuées par impatience)
- Pour les treillages vivants, attendez que l’arbre soit bien établi pour planter les grimpeurs (encore une fois, j’ai tué beaucoup de plantes de cette façon)

Figure 7. Voici une treille vive de fruit de la passion sur Gliricidia sepium, arbre fixateur l’azote surnommé « madre de cacao » au Mexique car il sert à faire de l’ombre dans les plantations de cacaoyers et de caféiers . J’ai visité le site ou j’ai pris cette photo chaque année pendant des années et j’ai constaté que les lianes de fruits de la passion n’étaient pas plantées avant que les arbres du treillis aient au moins trois ans. Pendant ce temps, des plantes annuelles aimant le soleil étaient cultivées en dessous.

Questions de gestion

- Tenez compte des exigences d’intégration du bétail si vous prévoyez un tel élevage (voir mon article sur le bétail dans la forêt alimentaire pour en savoir plus)

- Choisissez des espèces de vigueur similaire (pour qu’elles ne s’étouffent pas les unes les autres)

- Faire correspondre les espèces au style de gestion des parcelles

- Choisir des espèces ayant des besoins similaires en matière d’irrigation et de fertilité

- Toute espèce agressive devra être contrôlée (par exemple, barrière anti-rhizomes dans le cas des bambou par exemple)

Questions relatives à la récolte

- Assurez-vous d’avoir accès à la récolte

- Faudra-t-il ramasser des fruits et des noix dans le sous-bois ? (Si oui, les espèces de sous-bois piquantes ou épineuses sont indésirables ; le sous-bois pourrait être compatible avec la fauche ou la coupe de la saison des récoltes ; le sous-bois pourrait être compatible avec les bâches)

- Ne mélangez pas des espèces toxiques avec des espèces comestibles d’apparence similaire, surtout dans la même couche (nous avons fait cela avec des jonquilles et de la ciboulette à l’ail, oups !)

- Envisagez d’ajouter d’autres comestibles d’ombrage (champignons, fruits et légumes d’ombrage, café, cacao, vanille, etc.)

- Veillez à ce que la récolte des plantes racines n’endommage pas les racines des espèces sensibles

Figure 8. Le café sous ombrière est une polyculture pérenne commerciale. Ici, le café est cultivé à l’ombre d’espèces d’Inga qui fixent l’azote

.
Questions finales

- La polyculture répond-elle à vos objectifs ? (produits, fonctions, architecture, style de gestion)

- Les conditions sont-elles idéales pour les espèces "clés" (les plus critiques) par rapport à vos objectifs ?

- Chaque espèce est-elle adaptée à sa niche ?

- Comment évoluera le contexte lorsque la guilde sera arrivée à maturité ? Quels changements cela produira-t-il ?

Question relative à la mise en œuvre

- Quelles sont les mesures à prendre pour préparer la plantation ?

Voici le plan que j’utilise pour enseigner ces idées - n’hésitez pas à l’utiliser et à l’adapter comme bon vous semble.

1) Visualisation de quelques exemples de guilde et de système de polyculture (il peut s’agir de diapositives du site de l’Institut Apios, ou de visites guidées de véritables polycultures pérennes proches du site d’enseignement)

a. Discussion sur ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas

2) Présentation des lignes directrices de la conception de guildes et système de polyculture pérennes (J’ai l’habitude de faire circuler les participants et chacun d’eux lit à haute voix deux principes directeur)

3) Répartir les participants en groupes de 3 à 6 personnes

4) Distribuer et donner pour consigne d’examiner la liste d’espèces créée pour la région et le site de la formation

Objectifs et contraintes de l’exercice

a. n’utiliser que les espèces figurant dans le document. Cela évite d’être submergé par une longue liste. Les participants ont le reste de leur vie pour créer des polycultures
b. Utiliser de 2 à 7 espèces maximum
c. Introduire au moins un fixateur d’azote et un couvre-sol
d. Ne pas lier l’exercice à un site spécifique (Il s’agit dans cet exercice d’apprendre à assembler les pièces, les participants pourront le connecter à des sites réels la prochaine fois (dans l’exercice de conception finale)
e. Accorder un "bonus" pour une espèce attirant des insectes bénéfiques
f. Rappeler de ne pas trop stresser lors de la réalisation de l’exercice (Il n’y a pas de risque que les plante proposées soient réellement plantés !)
g. Rappeler qu’il s’agit d’une polyculture
i. Veiller à être bienveillant les uns avec les autres
h. Veiller à ce que l’ambiance reste créative et coopérative et pour éviter le stress et les conflits et que les gens puissent apprendre .

6) Fournir à chaque équipe son propre objectif et ses propres conditions

Habituellement, je dis donne aux différents groupes les consignes comme suit :

1. Plein soleil pas de restrictions
2. Pas de restrictions pour les ombres partielles
3. Pleine ombre sans restrictions
4. Espèces indigènes en plein soleil uniquement
5. Espèces indigènes partiellement ombragées seulement
6. Espèces indigènes à l’ombre uniquement (ce groupe finit toujours en premier parce qu’ils ont si peu d’options !)

Les consignes peuvent être plus complexes :
« plantation de nectar pour l’ombre partielle" »,
« treille vive pour les haricots vivaces »,
« compagnons de sureau »,
« bosquet productif » etc.

c. Préparer la présentation

i. Qui fera la présentation ? Nom de la polyculture, objectif et conditions, espèces, dessin ou carte bienvenus

7) Première étape : dresser une liste révisée des espèces en biffant celles qui ne fonctionnent pas (trop grandes, ne tolérant pas l’ombre, ne correspondant pas aux objectifs et aux conditions) ou en mettant en évidence celles qui le font

8) Commencez par la couche la plus élevée et descendez

9) étape suivante : suivez les directives figurant sur le document.

10) Je circule et je vérifie de temps en temps, pour m’assurer qu’ils sont sur la bonne voie (il faut généralement 20 à 40 minutes pour réaliser une polyculture)

11) Présentations (3-5 minutes par groupe)

Presque 100% de mes étudiants ont réussi cet exercice, et ils ont tendance à penser que cela a rendu beaucoup plus accessible un processus quelque peu intimidant. Essayez-le, j’espère qu’il vous sera également utile !

Présentation de l’auteur de l’article :

Eric Toensmeier est le le co-auteur de Edible Forest Gardens et l’auteur primé de Paradise Lot, Perennial Vegetables, et The Carbon Farming Solution : A Global Toolkit of Perennial Crops and Regenerative Agricultural Practices for Climate Change Mitigation and Food Security, publié en février 2016. Chargé de cours à l’université de Yale, maître de conférences en bioséquestration de carbone dans le cadre du projet Drawdown et formateur international en permaculture et Jardins-Forêt, Eric Toensmeier donne des conférences dans toute l’Amérique et au-delà. Il étudie les plantes vivaces utiles et leur rôle dans les systèmes agroforestiers depuis plus de deux décennies.

Bibliographie

Mis en ligne par La vie re-belle
 26/09/2020
 https://lavierebelle.org/principes-des-guildes-de

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