Eriobotrya japonica (Umunofiriya, Néflier du Japon, Loquat Japanes plum) tree)

Arbre fruitier et médicinal

Originaire de chine, le potentiel des usages de cet arbre commun en Afrique de l’est résistant à la sécheresse et pourvoyeur d’une ombre dense mérite d’être mieux connu. Il produits des fruits comestibles, et des feuilles dont on peut faire une boisson savoureuse et médicinale.

Eriobotrya japonica (Umunofiriya, Néflier du Japon, Loquat Japanes plum) tree)

Arbre fruitier et médicinal

Connaissant mon souhait de cultiver une grande variété d’arbre et plantes, un ami poète, philosophe, jardinier et amateur de greffes en tous genre m’a donné plusieurs boutures afin de voir si l’une, l’autre ou toutes, poussant dans son jardin d’Ariège s’acclimateraient à la terre et au climat du Rwanda. Je suis donc revenu en Afrique avec dans mes bagages des boutures de vigne, framboisier, jasmin, groseillier, et d’un arbre dont j’ignorais jusque la l’existence qu’il me décrit comme un « néflier du japon ».

Arbre à Pipa « Eriobotrya japonica », Flora Sinensis 1656 par Michał Piotr Boym, missionnaire jésuite, auteur d’un des premiers livres d’histoire naturelle sur la Chine. Bibliothèque Universtaire Moretus Plantin

Lors de mon voyage de retour au Rwanda, je fis une halte au Kenya pour voir des amis très cher au Kenya. Au fond de leur jardin, trône un grand arbre, qui donne une belle ombre. Curieux d’apprendre son nom j’appris qu’il s’agissait également d’un néflier du Japon. Cette présence était de bonne augure pour ma bouture ariégeoise.

Je décidai donc d’en savoir plus sur cet arbre. Mes recherches m’ont conduit à de belles surprise sur ses usages. Je les partage aujourd’hui avec vous :

Cet arbre que l’on peut trouver aussi bien en Europe qu’en Afrique provient d’Asie comme ses nom français et botanique « Eriobotrya japonica » le laissent deviner. Les Japonais l’appellent « Biwa ». Ce mot signifie fruit [en forme de] biwa, un instrument de musique. Le fruit et l’instrument de musique ont donné leur nom au lac Biwa près de Kyoto. Dans sa région d’origine, les montagnes du Sichuan et du Yunnan au sud-ouest de la Chine, on l’appelle « pípá guǒ » fait également en référence à l’instrument de musique chinois « pípá ». Les noms français « bibacier » ou « bibassier » : « arbre à biba », sont une référence directe à ce nom chinois.
Pípá chinois et Biwa japonais

Pípá chinois et Biwa japonais

En Chine, au Japon et en Corée, on cultive cet arbre de la famille des Rosacées depuis au moins deux millénaires pour son fruit comestible, pour sa feuille utilisée en tisane au vertus médicinales, ou comme arbre ornemental et d’ombrage.
Ces qualités l’ont fait adopté dans toute les régions chaudes et même tempérées. Ce petit arbre à feuilles persistantes, commun en Chine, Japon et au nord de l’Inde, est aujourd’hui présent en région méditerranéenne, au sud du Sahara, en Éthiopie, au Kenya, en Ouganda et au Rwanda ou on le trouve de 1 400 à 2 400 m d’altitude. Il s’est également naturalisé dans les îles de Madagascar, de La Réunion et à Maurice.

Oiseau sur une branche de « pípá guǒ » - Peintre anonyme de la dynastie Song (960-1279)

Description

L’arbre à un port érigé. Sa taille varie selon les cultivars. Il peut être de forme naine ou atteindre une douzaine de mètre de hauteur.

Ses jeunes rameaux et bourgeons sont cotonneux (Le nom botanique de l’arbre « eriobotrya » qui signifie « grappe de laine » en grec est une allusion à cette cette caractéristique.

Ses racines grêles ne sont pas envahissantes. L’arbre peut donc être planté prêt d’un bâtiment, en revanche il craint les vents forts, et il est déconseiller de travailler le sol au pied de l’arbre. Un paillis est favorable à sa croissance. S’il requiert des précipitations modérées à fortes pour s’établir, il résiste à la sécheresse une fois implanté.

Ses feuilles simples, alternes, persistantes et fortement nervurées sont de grande taille. De forme oblongue, irrégulièrement dentées, elles peuvent mesurer de 15 à 30 cm de long. Elles sont assez coriaces et ont le bord du limbe denté. Leur face supérieure est vert foncé, luisante et glabre, tandis que leur face inférieure plus claire est tomenteuse.

Jeunes feuilles dressées et feuilles plus anciennes

Les fleurs blanches sessiles de 1-2 cm de diamètre sont réunies en thyrses, des panicules pyramidales et tomenteuses de 10-17 cm de long.

Inflorescences

Chose très inhabituelle parmi les arbres fruitiers, en zone tempérée, les fleurs de l’arbre à pipa ne s’épanouissent pas eu printemps mais en automne ou au début de l’hiver et ses fruits atteignent leur maturité à la fin de l’hiver ou au début du printemps. La nouaison n’intervient que si les températures sont douces en fin d’automne, la fleur gèle à -5° C5.

Les fruits ovoïdes, de 2-7 cm de long et de couleur jaune orangé ou ivoire, sont des baies à chair orangée ou blanche jaunâtre, à goût acidulé, très juteuses. En Afrique de l’Est (Kenya, Ouganda, Rwanda) les fruits arrivent à maturité en juillet et août.
Ils contiennent 4 à 5 pépins assez volumineux (qui sont toxiques) bruns noir, de taille variable, de 1-1,5 cm de long. Les arbres de semis ont peu de pulpe, les meilleures sélections fruitières ont des pépins moyens à petits.

Usages

Usages culinaires des fruits

Les baies du bibacier ont une chaire juteuse de saveur doucement acidulée à maturité. Ils peuvent être consommés frais ou cuisinés. On les mange tel quel ou en salade de fruits ; on en fait aussi des confitures. Les baies sont réputées être intéressantes à utiliser en pâtisserie. Elles servent également de base à diverses boissons : on les transforme en jus, crème, vin, liqueur et on les utilise dans des cocktails. À la Réunion le fruit entre dans une préparation appelée « Liqueur Bibace ».

Les Mauriciens s’en servent couramment pour tous types de plats et plus particulièrement dans la préparation des achards. Autrefois les fleurs étaient fréquemment utilisées en parfumerie.

La fragilité du fruit rend difficile sa commercialisation à large échelle. Il doit être récolté très mûr sous peine d’être trop acide. La conservation à basse température permet de maintenir la qualité de fraîcheur des fruits pendant 3 semaines.

Composition du fruit :

Le fruit est riche en calcium (16 mg) et vitamine A et sa peau est riche en tanin.
La baie est peu calorique avec un apport maximal de 47 kcals environ pour 100 g. Elle contient 6 % d’eau, 0,7 % de protides, 10,2 % de glucides, 0,3 % de lipides

Composition pour 100g de chair :

Calcium (33,2 mg), Phosphore (19 mg), Fer (0,3 mg), Sodium (3,5 mg), Potassium (258 mg), Magnésium (13 mg), Vitamine B1 (0,03 mg), Vitamine B2 (0,03 mg), Vitamine PP (0,3 mg), Vitamine C (6 mg), Iode (0,8 µg), Tanin (2 mg), Sels minéraux. (0,5 mg), Manganèse (0,14 mg), Fibres (0,9 %), Zinc (0,07 mg), Cuivre (0,04 mg), Bêta-caroténe (541 µg), Vitamine B6 (0,1 mg), Vitamine B9 (14 µg) [Source : Guide nutritionnel des plantes sauvages et cultivées - Francois Couplan]

Usage des feuilles :

Les plus grandes feuilles sont utilisées pour confectionner le thé de biba couramment bu en Chine et au Japon.

Mode de préparation

Seules les plus grandes feuilles, d’un poids supérieur à 9 g sont utilisées. On délaissent les petites feuilles qui contiennent des saponines. Les grandes feuilles sont lavées et frottées pour éliminer les poils bruns cotonneux, puis tranchées en lanières de 1,5 cm qui sont finalement séchées.

Au Japon, les feuilles sont récoltées en juillet et août, mais aucune étude ne donne une période optimale de récolte au regard des composés actifs contenus dans les feuilles.

La préparation du « thé » de feuilles consiste en une décoction de 15 minutes qu’on laisse reposer au minimum pendant la même durée. Cette méthode permet l’extraction des composés phénoliques contenus dans les feuilles. La boisson obtenue d’une belle couleur ambrée a un goût très agréable et une saveur de pomme. Elle peut être bue sans sucre, chaude ou froide [3].

Recettes réunionnaise à base de bibasse

Confiture de bibasse

Ingrédients pour 1 kg de Bibasses épépinées :

- 3/4 du poids des Bibasses en sucre
- 1 citron
- 1 gousse de vanille ( facultatif).
- Rhum ( facultatif ).

Préparation

1. Laver, peler, enlever les pépins des bibasses, attention les pépins sont toxiques.
2. Peser les bibasses préparés, et réservez les 3/4 du poids des bibasses pour le sucre.
3. Presser le citron.
4. Mettre les bibasses, le jus du citron et le sucre dans la bassine à confiture, mélanger et portez à ébullition. faites cuire environ 45 minutes en mélangeant régulièrement.
5. Vérifier la cuisson en versant quelques gouttes sur une assiette froide puis penchez l’assiette. La confiture doit couler doucement.
6. Écumer et procédez sans attendre à la mise en pots. couvrez et stérilisez.

Avant la mise en pot, ion peut ajouter une gousse de vanille découpée en cinq ou six morceaux (autant que de pots) et ajouter une larme de rhum pour parfumer.

Rhum arrangé bibasse

Ingrédients pour 2 litres de rhum

- 20 bibasses
- 2 litres de rhum blanc
- 6 cuillères à soupe de sucre roux.

Préparation

1. Lavez les bibasses (nèfle du Japon), ouvrez les bibasses en deux. Enlevez les pépins.
2. Mettre les ingrédients dans le bocal, les bibasses et 6 cuillères à soupe de sucre roux.
3. Versez le rhum.
4. Laissez macérer pendant 3 mois, dans un endroit frais et à l’abri de la lumière. (Le rhum arrangé se conserve pendant des années)

Usage médicinal

Usages traditionnels

Les feuilles sont analgésiques, antibactériennes, antiémétiques, antitussives, antivirales, astringentes, diurétiques et expectorantes. [1]

Elles sont traditionnellement utilisées pour traiter les problèmes respiratoires. Le thé de feuilles et de fleurs séchées est l’un des remèdes contre la toux les plus populaires en Extrême-Orient. Elles sont également utilisées en Chine, en Corée et au Japon contre l’asthme et diverses affections.

En 1874, Philibert Dabry de Thiersant écrit dans « La matière médicale chez les Chinois » : « sa feuille amère dissout les inflammations, arrête la toux et la soif, apaise la mélancolie et renforce l’estomac » [2].

La décoction de jeunes feuilles et pousses est utilisée comme astringent intestinal et comme bain de bouche en cas de muguet, ainsi que dans le traitement de la bronchite, de la toux, du rhume, etc.

En médecine traditionnelle chinoise les feuilles sont au utilisées en cataplasme pour soigner les plaies.

Elles sont récoltées à la demande et peuvent être utilisées fraîches ou séchées. Les poils doivent être retirés des feuilles afin de prévenir les irritations de la gorge.

Les fleurs sont expectorantes.

Le fruit légèrement astringent, et expectorant est sédatif. Il est utilisé pour calmer les vomissements et la soif.

Potentiels thérapeutiques confirmés ( Source Wikipédia)

L’analyse de l’extrait de feuille a mis en évidence la présence d’antioxydants : phénols, flavonoïdes, triterpènes, parmi lesquels l’acide ursolitique [4], et polysaccharides [5].

En 2010, une équipe coréenne a confirmé expérimentalement une action anti-inflammatoire et analgésique du « thé » de feuilles. [6]

L’action anti-inflammatoire a été spécialement confirmée pour la bronchite chronique en expérimentation animale [7, 8], sur la toux et l’asthme chez la souris et le cobaye [9]. Le mécanisme d’action a été décrit en 2015 chez le rat [10].

Une équipe chinoise a classé le néflier du Japon en seconde position sur 56 plantes utilisées en médecine traditionnelle pour son contenu en antioxydant [11], les plantes sauvages ayant un potentiel antioxydant plus élevé qu’un cultivar domestiqué [12].

Une action antidiabétique a été démontrée chez le rat [13], elle est due à une flavonolignane [14, 15].

Suite à des études sur les activités estrogéniques des plantes de la médecine traditionnelle chinoise [16], une équipe japonaise montre que la feuille de bibacier prévient la détérioration de la densité osseuse chez la souris ovariectomisée [17]. Sous la direction du même chercheur, Hui Tan, le mécanisme d’action de l’acide ursolique [18] a été décrit en 2015 [19] suivi d’une étude sur l’activité anti-ostéoporose de la feuille de bibacier [20].

T.K. Lim (2012) [21] ajoute aux activités anti-oxydantes, anti-inflammatoires, anti-hyperglycémies, antiallergiques, des activités anti-cancer décrite depuis 2000 (cancer de la bouche, des glandes salivaires, leucémie, du pancréas [22], hépato-protectrice (2002), rénoprotectrice (2004) et gastroprotectrice (2008).

L’activité antitumorale et immunomodulatrice a été démontrée chez la souris atteinte d’un cancer du foie (2018) [23].

Les activités anti-oxydantes se manifestent encore par un effet neuroprotecteur (capacité cognitive chez la souris [24] et des adolescents [25].

Une revue détaillée des activités des extraits de nèfle du Japon publiée en 2016 porte aussi sur les extraits de fruit et de fleur [9].

En résumé le thé de feuilles, mérite d’être utilisé comme une boisson quotidienne, pour sa saveur et ses vertus rafraîchissantes et désaltérantes, et ses propriétés médicinales qui renforce l’immunité générale, et contribue à la prévention ou agit en soutient du traitement d’un large éventail de troubles notamment l’ostéoporose, le diabète, les affections hépatiques, rénales, cancéreuses...

Toxicité éventuelle :

En 2011, l’administration de 10 g/kg d’extrait de feuille de bibacier pendant 28 jours consécutifs à des rats des deux sexes, puis en 2016 de différentes doses jusqu’à 6 g/kg à des souris ont permis de constater l’absence d’effet indésirable chez ces animaux.

Autres utilisations

Eriobotrya japonica est planté comme arbre d’ombrage, comme brise-vent, comme source de paillis et comme arbre ornemental du fait de son feuillage persistant et de sa floraison en grappes retombantes. En situation ombragée les feuilles sont plus grandes qu’au soleil.

Ses inflorescences, parfumées sont mellifères

Le bibacier peut être utilisé comme porte-greffe pour le poirier. Il donnera un poirier de vigueur moyenne, utilisable pour les formes palissées, à mise à fruits assez lente.
Le bois de l’arbre est utilisé comme combustible ou pour faire de piquets et des poteaux.

En médecine traditionnelle chinoise elles sont utilisées en cataplasme [4]. Les fleurs séchées sont également utilisée en tisane.

Culture

Multiplication

Eriobotrya japonica se multiplie par ses nombreuses graines. Les graines sont dispersées par les oiseaux, et l’homme qui consomment les fruits le long des sentiers. Cet Arbre fruitier donne des fruit de 4 à 6 ans après la plantation. Le rendement du Bibacier est régulier et abondant ; A l’âge de 8 à 12 ans, un pied porte annuellement de 30 à 50 kilos de fruits.

En culture la multiplication se fait par greffage.

La multiplication par semis possible avec des graines fraîches.

La multiplication se fait principalement par greffage. Les porte-greffes sont le franc de néflier du Japon pour les haute tiges et le cognassier pour les formes naines, le poirier convient également. Les arbres greffés produisent des fruits dans les deux ans alors qu’il faudra patienter 8 à 10 ans pour un arbre issu de semis.

Le marcottage aérien réalisé au printemps est parfois cité comme une technique sûre souvent comme difficile, au même titre que le bouturage.

Planter au soleil dans un sol bien drainé, la distance de plantation recommandée est soit 3,5 x 7 m, soit 6 x 6 m5. La plante est relativement indifférent au pH (de 5.5 à 7.8).

Le néflier du Japon est auto-fertile et ne nécessite pas de pollinisateur. Néanmoins, la présence d’abeilles à la floraison permet d’obtenir un maximum de fruits

Tailler après la récolte des fruits. La taille en gobelet demi-tige permet de maintenir les fruits assez faciles d’accès. La taille annuelle consiste à aérer l’intérieur de l’arbre et à supprimer les rameaux qui ont fructifié (l’arbre fructifie sur le bois de l’année) et à réduire la hauteur. Les fruits sont éclaircis en milieu d’hiver (on laisse 2 ou 3 fruits par main) afin d’obtenir des fruits plus gros. Au Japon les fruits sont mis en sac pour accélérer la maturation et les protéger des oiseaux qui en sont friands.

Soin :

Passer du blanc de chaux sur le tronc sensible au soleil, arroser régulièrement (dans son climat d’origine il reçoit une pluviosité bien repartie tout au long de l’année comprise entre 650 et 1.000 mm), fertiliser au printemps. La plante est résistantes à la plupart des maladies et des insectes, sensible au feu bactérien (pratiquer un élagage des zones atteintes)

Références :

1. Yilong Liu, Wenna Zhang, Changjie Xu, and Xian Li, Biological Activities of Extracts from Loquat, (Eriobotrya japonica Lindl.) : A Review, International Journal of Molecular Sciences.

2. Philibert Dabry de Thiersant, La matière médicale chez les Chinois, G. Masson, 1er janvier 1874)

3. Yanping Hong, Biaosheng Lin, Hongyun Cao et Yongshun Gao, « Analysis of major triterpene acids and total polysaccharides in the leaves of 11 species ofEriobotrya », BIO Web of Conferences, vol. 8,‎ 2017(ISSN 2117-4458, DOI 10.1051/bioconf/20170803012)

4. Dharambir Kashyap, Hardeep Singh Tuli et Anil K. Sharma, « Ursolic acid (UA) : A metabolite with promising therapeutic potential », Life Sciences, vol. 146,‎ 1er février 2016, p. 201–213 (DOI 10.1016/j.lfs.2016.01.017)

6. Dong Seok Cha, Jae Soon Eun et Hoon Jeon, « Anti-inflammatory and antinociceptive properties of the leaves of Eriobotrya japonica », Journal of Ethnopharmacology, vol. 134, no 2,‎ 24 mars 2011, p. 305–312 (DOI 10.1016/j.jep.2010.12.017

7. Yan Huang, Jun Li, Qi Cao et Shi-Chun Yu, « Anti-oxidative effect of triterpene acids of Eriobotrya japonica (Thunb.) Lindl. leaf in chronic bronchitis rats », Life Sciences, vol. 78, no 23,‎ 1er mai 2006, p. 2749–2757 (DOI 10.1016/j.lfs.2005.10.040)

8. Jin-Fang Ge, Ting-Yu Wang, Bin Zhao et Xiong-Wen Lv, « Anti-inflammatory Effect of Triterpenoic Acids of Eriobotrya japonica (Thunb.) Lindl. Leaf on Rat Model of Chronic Bronchitis », The American Journal of Chinese Medicine, vol. 37, no 02,‎ 1er janvier 2009, p. 309–321 (ISSN 0192-415X,DOI 10.1142/S0192415X09006862)

9. « The antitussive,expectorant and anti-asthmatic activities of triterpene acids of loquat leaves in mice and guinea-pigs—《Acta Universitatis Medicinalis Anhui》2006年04期 » [archive], sur en.cnki.com.cn(consulté le 3 février 2017)

10. Jin Tao, Yuanyuan Hou, Xiaoyao Ma et Dan Liu, « An integrated global chemomics and system biology approach to analyze the mechanisms of the traditional Chinese medicinal preparation Eriobotrya japonica – Fritillaria usuriensis dropping pills for pulmonary diseases », BMC Complementary and Alternative Medicine, vol. 16,‎ 1er janvier 2016, p. 4 (ISSN 1472-6882, PMID 26742634, PMCID PMC4705596,DOI 10.1186/s12906-015-0983-y)

11. Feng-Lin Song, Ren-You Gan, Yuan Zhang et Qin Xiao, « Total Phenolic Contents and Antioxidant Capacities of Selected Chinese Medicinal Plants », International Journal of Molecular Sciences, vol. 11, no 6,‎ 1er juin 2010, p. 2362–2372 (PMID 20640157, PMCID PMC2904921, DOI 10.3390/ijms11062362)

12. Yanping Hong, Shunquan Lin, Yueming Jiang et Muhammad Ashraf, « Variation in Contents of Total Phenolics and Flavonoids and Antioxidant Activities in the Leaves of 11 Eriobotrya Species », Plant Foods for Human Nutrition, vol. 63, no 4,‎ 26 août 2008, p. 200 (ISSN 0921-9668 et 1573-9104,DOI 10.1007/s11130-008-0088-6)

13. W.L. Li et al., « Natural medicines used in the traditional Chinese medical system for therapy of diabetes mellitu », Journal of Ethnopharmacology 92 (2004) 1–21,‎ 2004, p. 11)

14. Fadi Qa’dana, Eugen. J. Verspohl et al., « Cinchonain Ib isolated from Eriobotrya japonica induces insulin secretion in vitro and in vivo », Journal of Ethnopharmacology 124 (2009) 224–2,‎ 2009)

15. J. Chen, W. L. Li, J. L. Wu et B. R. Ren, « Hypoglycemic effects of a sesquiterpene glycoside isolated from leaves of loquat (Eriobotrya japonica (Thunb.) Lindl.) », Phytomedicine, vol. 15, nos 1–2,‎ 25 janvier 2008, p. 98–102 (DOI 10.1016/j.phymed.2006.12.014)

16. In Gyu Kim, Se Chan Kang, Kug Chan Kim et Eui Su Choung, « Screening of estrogenic and antiestrogenic activities from medicinal plants », Environmental Toxicology and Pharmacology, vol. 25, no 1,‎ 1er janvier 2008, p. 75–82 (DOI 10.1016/j.etap.2007.09.002)

17. Hui Tan, Syoko Furuta, Toshiro Nagata et Koichiro Ohnuki, « Inhibitory Effects of the Leaves of Loquat (Eriobotrya japonica) on Bone Mineral Density Loss in Ovariectomized Mice and Osteoclast Differentiation », Journal of Agricultural and Food Chemistry, vol. 62, no 4,‎ 29 janvier 2014, p. 836–841 (ISSN 0021-8561, DOI 10.1021/jf402735u)

18. Łukasz Woźniak, Sylwia Skąpska et Krystian Marszałek, « Ursolic Acid—A Pentacyclic Triterpenoid with a Wide Spectrum of Pharmacological Activities », Molecules, vol. 20, no 11,‎ 19 novembre 2015, p. 20614–20641 (DOI 10.3390/molecules201119721)

19. Hui Tan, Ahmed Ashour, Yoshinori Katakura et Kuniyoshi Shimizu, « A structure–activity relationship study on antiosteoclastogenesis effect of triterpenoids from the leaves of loquat (Eriobotrya japonica) », Phytomedicine, vol. 22, no 4,‎ 15 avril 2015, p. 498–503 (DOI 10.1016/j.phymed.2015.03.002)

20. (en) Hui Tan, « Antiosteoporosis activity of the leaves of Eriobotrya japonica », Kyushu University,‎ 2015, p. 113 )

21. a et b (en) T. K. Lim, Edible Medicinal And Non-Medicinal Plants : Volume 4, Fruits, Springer Science & Business Media, 11 juin 2012 (ISBN 9789400740532)

22. Qing-Yi Lu, Xuemei Zhang, Jieping Yang et Vay-Liang W. Go, « Triterpenoid-rich loquat leaf extract induces growth inhibition and apoptosis of pancreatic cancer cells through altering key flux ratios of glucose metabolism », Metabolomics, vol. 13, no 4,‎ 1er avril 2017, p. 39 (ISSN 1573-3882 et 1573-3890,DOI 10.1007/s11306-017-1176-0)

23. Li Chen, Yundong Wei, Shimei Zhao et Mengliang Zhang, « Antitumor and immunomodulatory activities of total flavonoids extract from persimmon leaves in H22 liver tumor-bearing mice », Scientific Reports, vol. 8, no 1,‎ 12 juillet 2018 (ISSN 2045-2322, DOI 10.1038/s41598-018-28440-8)

24 Mi-Jeong Kim, Jeongmin Lee, Ah-Reum Seong et Yoo-Hyun Lee, « Neuroprotective effects of Eriobotrya japonica against β-amyloid-induced oxidative stress and memory impairment », Food and Chemical Toxicology : An International Journal Published for the British Industrial Biological Research Association, vol. 49, no 4,‎ 1er avril 2011, p. 780–784 (ISSN 1873-6351, PMID 21168467, DOI 10.1016/j.fct.2010.11.043)

25. Soo-Wan Chae, Eun-Kyung Choi, Myoung-Hwan Ko et Soo-Hyun Park, « Eriobotrya japonica Improves Cognitive Function in Healthy Adolescents : A 12-week, Randomized Double-blind, Placebo-controlled Clinical Trial », International Journal of Pharmacology, vol. 12, no 4, Article : paramètre « date » manquant, p. 370–378 (DOI 10.3923/ijp.2016.370.378)

26. « The antitussive,expectorant and anti-asthmatic activities of triterpene acids of loquat leaves in mice and guinea-pigs—《Acta Universitatis Medicinalis Anhui》2006年04期 » [archive], sur en.cnki.com.cn(consulté le 3 février 2017)

Mis en ligne par La vie re-belle
 11/03/2019
 https://lavierebelle.org/umunofiriya-eriobotrya-japonica-rencontre-avec-un-arbre-remarquable

Plantes de l’Afrique des Grands Lacs

Description des plantes adventices et cultivées en Afrique de l’Est et présentation de leurs propriétés et de leurs usages traditionnels et potentiels

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