Amaranthus Blitum. L’amarante blette

Présente dans la plupart des régions tropicales et tempérées chaudes du monde, Amaranthus blitum est considérée soit comme une adventice indésirable des terres cultivées, soit comme une plante sauvage comestible appréciable, voir en Inde au Kenya ou Ouganda comme plante potagère des jardins familiaux.

Amaranthus Blitum. L’amarante blette

Amaranthus blitum

Amaranthus blitum

Synonyme : Amaranthus livides L

Noms vernaculaires :

Français : Amarante blette, Amarante sauvage, Pariétaire (Réunion), Amarante livide
Anglais : Wild amaranth, Purple amaranth, Guernsey pigweed, Livid amaranth, Slender Amaranth, Pigweed,
Espagnol : Amaranto ascendente ; Bledo rojo
Portugais : Bredo, Caruru-folha-de-cuia
Swahili  : Mchicha (nom générique des amarantes)
Kinyarwanda : Pas de nom spécifique

Description :

Amaranthus blitum est un herbacée annuelle de la famille des Amaranthaceae.

La plante s’ancre dans le sol par une racine pivot. Ses rameaux décombants ou prostrés sont de taille très variable. Lorsque elle est érigée la plante peut atteindre jusqu’à 1 m de hauteur.

Sa tige simple ou ramifiée est pleine, cannelée, plus ou moins anguleuse, verte à rougeâtre ou jaune, le plus souvent glabre ou parfois courtement pileuse.

Ses feuilles alternes, simples sont portées par des pétioles dépourvus de stipules atteignant 10 cm de long. Le limbe est ovale à obovale, long de 1 à 4 cm et large de 0,6 à 2 cm, brièvement cunéiforme à la base, large en général au sommet et distinctement échancré, mucroné, glabre ou plus rarement portant des poils courts, à nervation pennée.

Ses inflorescences en glomérules axillaires ou terminales à fleurs nombreuses, forment des faux épis avec des fleurs vertes mâles et femelles mélangées. Les faux épis terminaux sont longs de 0,6 à 11 cm et de 0,3 à 2 cm de diamètre, tandis que les inflorescences axillaires basales forment des glomérules denses, atteignant 2 cm de diamètre.

Le fruit est une capsule subsphérique d’environ 2 mm de long, indéhiscente ou éclatant irrégulièrement, surmontée par les stigmates, à graine unique.

La graine brillante, brun foncé à noir est lenticulaire subglobuleuse, légèrement comprimée, lisse, d’environ 1 à 1.5 mm de diamètre

Fruits et graine

Distribution

Probablement originaire de la région méditerranéenne, Amaranthus blitum est une adventice cosmopolite répandue dans les zones tropicales et tempérées. Sur le continent africain on peut la rencontrer en au Maghreb, en Afrique de l’ouest, en Afrique centrale, orientale et australe.

Distribution africaine d’A. blitum

Elle est signalée dans les pays suivants :

Afrique du Nord : Algérie, Maroc, Égypte, Tunisie.

Afrique de l’Ouest : Bénin, Côte d’Ivoire, Gambie, Ghana, Guinée, Guinée-Bissau, Niger, Sénégal.

Afrique centrale : Cameroun, Nigeria, République démocratique du Congo.

Afrique de l’Est : Burundi, Éthiopie, Kenya, Ouganda, Rwanda, Soudan Tanzanie.

Afrique septentrionale : Afrique du Sud, Malawi, Mozambique, Zambie, Zimbabwe.

Océan Indien ; Madagascar, Maurice, Réunion.

Dans l’hémisphère nord ont trouve aussi Amaranthus blitum en Europe du Sud et vers l’Est de l’inde jusqu’au japon, ainsi que dans la partie orientale de l’Amérique du Nord.

Elle est classée comme invasive dans dix pays, principalement en Europe et en Asie, mais aussi au Nigeria et au Mozambique. Aux États-Unis, elle est considérée l’une des trois principales adventices indésirables des exploitations agricoles ainsi qu’au Japon dans les ferme de montagne. Dans la province de Minais Gerais au Brésil, elle figure parmi les cinq adventices les plus courantes des plantations de café.

Trois sous-espèces sont distinguées :

Amaranthus blitum subsp. blitum : Originaire de la région méditerranéenne, d’Europe et d’Afrique du Nord, Amaranthus blitum subsp. blitum s’est naturalisée en Amérique du Nord et se rencontre également en Asie.

Amaranthus blitum subsp. blitum

Amaranthus blitum subsp. emarginatus : Originaire d’Amérique tropicale. Elle a été introduite dans les régions tempérées chaudes d’Amérique du Nord et d’Europe.

Amaranthus blitum subsp. emarginatus

Amaranthus blitum subsp. oleraceus : Ce taxon probablement issu d’un groupe de la sous-espèce méditerranéenne blitum doit vraisemblablement sa diffusion à sa promotion comme légume cultivé dans les jardins familiaux du Sud-Est de l’Europe, en Inde ou en Afrique centrale et orientale.

Amaranthus blitum subsp. oleraceus

Usages alimentaires :

Les feuilles et les jeunes pousses d’amarante blette sont fréquemment récoltée dans la nature en Ouganda et au Kenya pour être consommées comme légume cuit. Appréciée pour sa saveur douce, la plante est parfois aussi cultivée comme légume dans les jardins familiaux. Les maraîchers professionnels ne la cultivent pas car ils préfèrent cultiver des espèces d’amarantes plus productives comme Amaranthus cruentus L. et Amaranthus dubius Mart. ex Thell.

Hors d’Afrique, la plante est cultivée en Amérique centrale et Caraïbes, et très localement aux États-Unis, en Asie (Chine, Inde, Népal), en Europe (Grèce, Italie, Roumanie) et dans les îles du Pacifique Sud (Costea et al., 2003). En Inde, elle est cultivée comme légume-feuille et est connue sous le nom de "chauli" ou "pokla" (Hindi,) ; Thotakura (Telugu), Harive soppu (Kannada) Chawli (Marathi) [Subbiah et Ramanathan, 1982 ; Keskar et al., 1983]. En Grèce, on consomme l’amarante blette en salade cuite froide avec de l’huile d’olive et du jus de citron. Ce met est appelé vlita.

Feuille fraîches et Vlita

Des analyses faites en Inde, la composition chimique d’Amaranthus blitum est comparable à celle d’Amaranthus cruentus.

La teneur en oxalate des feuilles (0,08 %) et des tiges (0,15 %) augmente chez les plantes soumises à un stress, mais peut être réduite en les faisant bouillir (Abbott et Cambell, 1982].

La teneur en eau et la composition montrent des variations importantes en fonction de l’âge de la plante, des conditions écologiques et des pratiques culturales telles que la fertilisation.

Le taux de protéines qui varie de 20–38%, est très élevé (voir Costea et al., 2003) ; il est riche en arginine, tryptophane, isoleucine et leucine), de vitamines (vitamine C et B) et de minéraux (Ca, Fe, K, Mg, P, S, Al, Zn, Cu)

La teneur en matière sèche est également élevée : elle varie de 9–22% ; de même que la teneur en protéines .

La teneur en fibres est également élevée.

Les acides aminés présents dans les protéines des feuilles comprennent de la méthionine et d’autres aminoacides sulfurés.

La teneur en micronutriments essentiels, notamment calcium, fer, carotène, folate et acide ascorbique, est élevée en comparaison d’autres légumes-feuilles.

Le calcium est en partie insoluble et n’est pas absorbé dans l’appareil digestif, étant sous forme d’oxalate. La disponibilité biologique du fer est de 6–12%.

Les feuilles s’attendrissent facilement après 5–10 minutes de cuisson dans une eau légèrement salée. Certains types contiennent beaucoup d’anthocyane, pigment rouge vif qui se dissout dans l’eau de cuisson, que l’on jette.

Les feuilles et les tiges contiennent des antinutriments : nitrates (surtout dans les tiges) et oxalates, en proportion comparable à celle trouvée dans d’autres légumes-feuilles verts tels qu’épinard (Spinacia oleracea L.) et bette-épinard (Beta vulgaris L.).

Il y a peu de risques d’effets nutritionnels défavorables si la consommation est inférieure à 200 g par jour. En outre la cuisson dans un grand volume d’eau élimine ces composants toxiques. .

Les graines d’Amaranthus blitum contiennent de l’acide linoléique.

Usage fourrager :

L’espèce sert également de fourrage pour le bétail et comme engrais vert. On l’emploie comme fourrage, mais seulement en proportion modérée de la ration journalière. La teneur assez élevée en acide cyanhydrique et acide oxalique est défavorable à une consommation à l’état cru par le bétail comme par les humains et est un facteur limitant pour l’utilisation comme fourrage par les animaux

Usages médicinaux :

Les feuilles d’Amaranthus blitum sont utilisées comme fébrifuge et en cataplasme pour soigner les inflammations, les furoncles et les abcès

Les amarantes potagères en général sont recommandées comme un bon aliment avec des propriétés médicinales pour les jeunes enfants, les mères allaitantes et les malades souffrant de fièvre, d’hémorragies, d’anémie ou d’affections rénales.

Les feuilles sont utilisées comme fébrifuge.

Elles sont également utilisées en cataplasme pour soigner les inflammations, les furoncles et les abcès.

Des extraits de feuilles sont utilisés pour traiter les ulcères de la gorge et de la bouche.

Au Nigeria, Amaranthus blitum est utilisée en médicament contre les troubles pulmonaires.

En raison de son astringence, la plante est recommandé pour la diarrhée et la dysenterie (Grieve, 1978).

Au Bangladesh, la plante est utilisée pour ses propriétés stomachiques et émollientes ; elle est considérée comme un vermifuge efficace contre les vers ronds. Elle est également utilisée en cas de bilharziose, de diathèse hémorragique et pour traiter les ampoules.

On a constaté que le jus d’A. blitum inhibe la mutagenèse induite par le benzo[a]pyrène, le 2-amino-fluorène et le 3-amino-1,4 diméthyl-5H-pyridol dans Salmonella Typhimurium (Seung et al., 1997).

Modalité de culture

D’après la base de donnée Prota : Ressources végétales de l’Afrique tropicale

Ecologie :

Les amarantes potagères poussent bien avec des températures diurnes supérieures à 25°C et des températures nocturnes non inférieures à 15°C. L’ombre est défavorable, sauf en cas de stress dû à la sécheresse. L’amarante est une plante de jours courts quantitative, ce qui est un avantage dans les zones subtropicales, où la phase reproductive est retardée durant l’été. Elle affectionne les sols fertiles, bien drainés, à structure meuble. Elle est forte consommatrice d’éléments minéraux. Amaranthus blitum supporte assez bien des conditions défavorables de climat et de sol.

Croissance et développement :

La levée se produit 3–5 jours après le semis. Le développement végétatif est rapide. De même que le maïs et la canne à sucre, le genre Amaranthus se caractérise par un cycle de photosynthèse en C4, ce qui signifie une grande efficacité de photosynthèse à haute température et à fort rayonnement. La floraison peut débuter 4–8 semaines après le semis, ce qui rend la plante moins propre à la consommation. La pollinisation se fait par le vent, mais du fait de la production abondante de pollen, notamment sur les fleurs du sommet de la plante, on constate un degré élevé d’autopollinisation. Il y a aussi pollinisation par les insectes. Les premières graines atteignent leur maturité au bout de 2 mois. La plante continue de pousser pendant plusieurs mois avant de mourir.

Amaranthus blitum cultivée en Ouganda

Multiplication et plantation

Les graines d’Amaranthus blitum sont plus grosses que celles de la plupart des autres espèces d’Amaranthus ; on compte environ 1000 graines/g. Dans la nature et dans les jardins familiaux les graines se dispersent et donnent automatiquement naissance à de nouveaux plants. Dans l’obscurité, les semences peuvent rester à l’état de dormance durant plusieurs années. Elles germent lorsqu’elles viennent à la surface du sol ou dans l’horizon superficiel à moins de 3 cm de profondeur. Lorsqu’elle est destinée à la vente, on cultive normalement Amaranthus blitum seule sur planches. Elle est également parfois cultivée en mélange avec des cultures vivrières et dans les jardins familiaux. La pratique courante en Ouganda et dans l’ouest du Kenya est le semis direct à la volée ou en lignes à 15–20 cm d’écartement, à raison de 2–5 g/m2. Les plantes sont arrachées après 4–5 semaines. Une autre méthode de culture consiste à semer en pépinière à raison de 3–10 g/m2, et transplanter après 2–3 semaines. On obtient en pépinière jusqu’à 1000 plants à repiquer par m2. On peut adopter une densité de 100–200 plantes/m2 à récolter en une fois, tandis que pour des coupes répétées une densité de 25 plantes/m2 est appropriée. Au Kenya, on sème Amaranthus blitum en mélange avec d’autres légumes indigènes tels que Corchorus olitorius L., en rangs espacés de 30 cm ; les graines sont mélangées avec du sable pour faciliter le semis.

Amaranthus blitum subsp. oleraceus dans un jardin familial

Gestion

Dans les jardins familiaux, les seuls soins apportés à Amaranthus blitum consistent en désherbage sélectif. Amaranthus blitum pousse moins vite, est moins sujet aux maladies et aux attaques de ravageurs, et tolère mieux la sécheresse que l’amarante la plus couramment cultivée, Amaranthus cruentus. En raison de sa croissance assez vigoureuse, qui la fait se comporter comme une adventice, les autres adventices ne sont pas très gênantes, à l’exception parfois du souchet rond (Cyperus rotundus L.). Si les pluies sont insuffisantes, un arrosage par aspersion doit être effectué avant que les plantes n’atteignent leur point de flétrissement. Un arrosage quotidien à raison de 6 mm (6 l/m2) est suffisant. Un déficit en eau provoque une floraison précoce, qui réduit le rendement et la qualité marchande. L’amarante est très forte consommatrice d’éléments minéraux. Sur des sols pauvres elle ne donne que de faibles récoltes. Le prélèvement de minéraux calculé pour une culture d’amarante d’un rendement de 25 t/ha est de 125 kg de N, 25 kg de P, 250 kg de K, 75 kg de Ca, et 40 kg de Mg. Il peut y avoir une consommation supplémentaire de luxe de N et K lorsque ces éléments sont abondants. L’amarante répond bien à des apports élevés d’engrais organique. Sur sol pauvre, l’apport de 400 kg/ha de NPK 10–10–20 en plus de 25 t d’engrais organique est recommandé. Une application fractionnée est recommandée durant la saison des pluies. N nitrique est préférable à N ammoniacal. Il ne semble pas nécessaire de pratiquer une rotation de l’amarante avec d’autres cultures, étant donné que l’on n’a observé aucune maladie grave propagée par le sol.

Jeunes pousse dans un jardin familial indien

Maladies et ravageurs

La principale maladie est la pourriture des tiges, causée par le champignon Choanephora cucurbitarum. Elle est favorisée par une forte humidité, une fertilité médiocre du sol et des doses élevées d’azote. La lutte chimique par pulvérisations répétées de fongicides tels que manèbe ou carbatène permet de réduire les pertes, mais elle est rarement pratiquée. La fonte des semis causée par Pythium et Rhizoctonia peut être un danger sérieux sur les planches de semis. On y remédie par un bon drainage. Il faut éviter un semis trop dense. Les fongicides tels que les dithiocarbamates sont assez efficaces. Aucun dégât de maladies virales n’a été signalé. Amaranthus blitum est un hôte naturel du virus de la mosaïque du navet et du virus de la frisolée du tabac.

Les insectes constituent un problème sérieux pour les producteurs d’amarante. Les chenilles (Hymenia recurvalis, Spodoptera litura, Helicoverpa armigera) et parfois les sauterelles sont les plus nuisibles. Les larves du foreur de la tige Lixus truncatulus peuvent causer de graves dégâts, parfois déjà sur les planches de semis. La base de la plante hébergeant les nymphes se renfle, et sa croissance est très retardée. De nombreux autres insectes tels que pucerons, mineuses des feuilles, punaises, courtilières et acariens attaquent également l’amarante, mais ne causent généralement que de faibles dégâts. Les producteurs commerciaux pulvérisent des insecticides pour écarter les insectes, plutôt que la méthode traditionnelle consistant à répandre de la cendre de bois.

L’amarante n’est pas très sensible aux dégâts de nématodes.

Récolte

Les producteurs commerciaux récoltent par arrachage ou par coupe à ras du sol. Si la culture est faite par semis direct, la récolte qui se fait en une fois par arrachage ou par coupe peut être effectuée 3–4 semaines après le semis. Certains producteurs obtiennent une seconde récolte 3 semaines plus tard, par repousse des plantes les plus petites. Lorsque la récolte se fait par coupes répétées, la première coupe intervient environ 3 semaines après le repiquage, et ensuite on coupe toutes les 2–3 semaines, durant un ou deux mois. La coupe doit être faite à une hauteur telle qu’il reste au moins 2 feuilles avec bourgeons pour la repousse. La hauteur de la première coupe est normalement de 10–15 cm.

Rendement

Une culture d’Amaranthus blitum récoltée par arrachage peut produire 1,0 kg/m2 à 4 semaines après le semis. Un rendement de 1,5 kg/m2 peut être obtenu avec 2–3 coupes en 2 mois à partir de la date de repiquage. Dans une expérimentation en Inde, on a obtenu 20 t/ha de feuillage 36 jours après la plantation. Le rendement d’Amaranthus blitum est nettement inférieur à celui d’Amaranthus cruentus ou d’Amaranthus dubius.

Traitement après récolte

Les plantes ou pousses récoltées sont bottelées, les racines lavées, et le produit est emballé pour le transport jusqu’au marché. Dans les marchés et les boutiques, on l’asperge d’eau pour lui conserver un aspect de fraîcheur. Si les plantes sont arrachées, on peut les garder fraîches pendant quelques jours en trempant les racines dans une bassine. La vente se fait par bottes ou au poids. Certains utilisateurs sèchent les feuilles pour les consommer durant la saison sèche.

Mis en ligne par La vie re-belle
 16/08/2020
 http://lavierebelle.org/amaranthus-blitum-l-amarante

Plantes de l’Afrique des Grands Lacs

Description des plantes adventices et cultivées en Afrique de l’Est et présentation de leurs propriétés et de leurs usages traditionnels et potentiels

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