Luffa cylindrica - Icyangwe

Liane multifonctionnelle - vivrière, oléifère, médicinale et pourvoyeuse d’éponges

Luffa cylindrica M. Roem. (Cucurbitaceae)

Synonymes : Luffa aegyptiaca Mill. ; Momordica luffa L. ; Bryonia cheirophylla Wall.

Luffa cylindrica Icyangwe (Rwanda)
Icyangwe dans notre jardin à Nyamata (Rwanda)

Noms vernaculaires

- Kinyarwanda : Icyangwe (pl. ibyangwe)
- Kirundi : Inyuko
- Kiswahili : Uziuzi, madodoki, mdodok
- Kikongo : Nsaka-nsaka
- Ngwaka : Nzunzu, Monzombo (RDC)
- Ndokola : Emuka (RDC)
- Yoruba : Kankan-ayaba
- Français : Pétole, Louffa, Courge éponge, Courge torchon, Courge du hammam, Éponge végétale.
- Anglais : Dishrag gourd, Rag gourd, Sponge gourd, Vegetable-sponge, Smooth luffa, Dish-cloth gourd
- Indonésie : Blustru, emes (Sundanese), Petulo panjang (Halmaheru)
- Malais : Ketola manis, Petola buntal
- Philippines : Patola (Tagalog), Kabatiti (Ilocano), Kabawang (Tagbanua)
- Cambodgien : Ronôông muul
- Laotien : Bwàp khôm
- Thaï : Buap-hom (central), Buap-klom (northern)
- Vietnamien : Mướp hương.

Description :

Luffa cylindrica est une herbacée annuelle de la famille des cucurbitacées, grimpante si elle rencontre un support ou rampante en son absence.

Ses tiges dotées de vrilles peuvent atteindre 15 m de long.

Vrilles

Ses feuilles, comestibles lorsqu’elles sont jeunes, sont alternes, simples et sans stipules. Elle ont de long pétioles atteignant jusqu’à 15 cm de long. Leurs limbes à contour ovale, palmatilobé à lobes triangulaires ou ovales, cordé à la base.

La courge éponge est une plante monoïque, c’est-à-dire qu’elle a des fleurs mâles et femelles distinctes sur un même pied et que sa pollinisation dépend d’insectes.

Fourmis rouges (Solenopsis sp), fourmis noires (Lasius sp), petites abeilles cératines sauvages (Ceratina sp.), grandes abeilles xylocopes (Xylocopa sp), mouches syrphides et abeilles domestiques (Apis mellifera) visitent les fleurs mâles et femelles. Parmi tous les visiteurs, les abeilles mellifères sont les plus fréquentes et les plus régulières. Elles commencent à collecter le pollen tôt le matin, et leur nombre augmente progressivement avec la durée de la journée. L’abeille mellifère adopte généralement une position d’alimentation couchée, la tête orientée vers la chambre à nectar. La visite des abeilles aux fleurs mâles et femelles dure de 5 à 10 minutes.

La plante produit des fruits ellipsoïdes ou cylindriques atteignant 60 à 90 cm × 10 à 12 cm.

Feuilles, fleurs et fruits de différents cultivars

Luffa cylindrica est l’une des sept espèces du genre Luffa dont quatre sont originaires des tropiques de l’Ancien Monde et trois sont des espèces endémiques en Amérique du Sud.

Luffa cylindrica est largement réparti dans les régions tropicales et subtropicales, comme plante cultivée et naturalisée. Sa culture est d’origine ancienne et il est difficile de déterminer si la plante est originaire d’Afrique ou d’Asie.

On distingue au sein de l’espèce Luffa cylindrica des formes cultivées et sauvages :
– Luffa cylindrica également appelée Luffa aegyptiaca : formes cultivées à gros fruit à la pulpe douce ou peu amère, avec différents cultivars pour la production des meilleures éponges ou des meilleurs légumes.
– Luffa cylindrica var. leiocarpa (Naudin) Heiser & Schilling : formes sauvages qui se rencontrent en Asie.

Utilisations

Usages culinaires

Les fruits immatures, les jeunes feuilles et les bourgeons floraux des deux espèces peuvent être utilisés comme légumes. Ils doivent être récoltés avant que les faisceaux vasculaires fibreux du fruit durcissent et avant que les composés purgatifs amers se développent.

Les fruits immatures sont généralement cuits ou frits et utilisés dans des soupes. Les jeunes fruits des cultivars sucrés peuvent être consommés crus comme les concombres et les petits fruits sont parfois marinés au vinaigre ou en saumure. Ils peuvent être coupés en tranches et séchés pour un usage ultérieur.

Les feuilles sont également consommées comme légume.

Les graines torréfiées sont comestibles et contiennent une huile qui l’est tout autant.

En Asie ou Luffa porte de multiples noms vernaculaires, les façons d’accomoder le fruit immatures sont multiple ;
- Dans la cuisine vietnamienne, « mp hương » est un ingrédient commun dans les soupes et les plats sautés.
- Au Gujarat, « turya » est généralement préparé avec une abondante sauce tomate et garni de piments verts et de coriandre fraîche.
- En Assam, « bhul » est préparé avec du curry de poisson acidulé et du taro.
- Au Tamil Nadu, « peerkangai » est utilisée comme légume dans les caris : peerkangai kootu, poriyal, thogayal ; il est aussi trempé dans une pâte à base de pois chiches et frit. La peau est préparée en chutney.
- Au Kerala, « peechinga » est frit, sauté, ou cuit avec du dal.
- À Manipur, « Sebot » est préparé avec des pomme de terre, du poisson séché ou fermenté ; il est également frit ou cuit à la vapeur et consommé en purée.
- Au Japon, hechima est couramment utilisé comme légume frais ou coupés et séchés pour être consommés ultérieurement.
Dans le Maharashtra, en Inde, le fruit est cuisiné avec des arachide pilées ou des haricots.
- Au Bengale occidental et dans les régions du Bangladesh proche, il est consommé frit ou cuit avec des crevettes, du poisson ou de la viande.

Recettes simples

Luffa à la vapeur

1. Éplucher, couper le fruit en grands morceaux et cuire à la vapeur.
2. Hacher très finement l’ail et le chauffer avec de l’huile.
3. Ajoutez la sauce de soja claire.
4. Cuire les morceaux de luffa à la vapeur pendant 8 min.
5. Verser sur chaque morceau de luffa un peu de sauce.

Sauté de luffa au porc haché

1. Éplucher, couper cuire à la vapeur le fruit en grands morceaux.
2. Hacher, et sauté la viande de porc dans un filet d’huile, assaisonné de sauce d’huître, d’une pincée de sel et de sucre, et de bouillon de poule.
3. Ajouter les morceau de luffa à la fin.

Éponges végétales

Lorsque les fruits vieillissent, la plupart des tissus internes initialement mous (utilisés comme légume) disparaissent et sèchent. L’endocarpe - leur partie interne - évolue en réseau vasculaire fibreux persistant. Ce réseau fibreux s’extraient facilement des fruits mûrs en enlevant l’écorce sèches et en en retirant les pépins. Ils forment une « éponge » tendre et douce, qui retrouve sa forme initiale après avoir été pressée et est imputrescibles. Ces propriétés la rend particulièrement appropriées pour le lavage du corps, des tissus et pour le nettoyage des vitres et de la vaisselle.

Au Paraguay, on utilise les fibres de Luffa comme matériau pour la fabrication de panneau de construction en association avec de la toile de jute et des fibres de plastique recyclé.

Les Paraguayens l’utilisent aussi comme matériel d’isolation en en faisant une pâte composée de fibre de luffa et d’amidon. On ajoute à cette pâte un extrait de bruyère servant de répulsif contre les moustiques.

Les fibres de luffa sont également utilisées :

- pour la fabrication de chapeaux, de semelles de chaussures, de balais essuie-glace, de porte-pot, de sets de table, de paillassons, de tapis de douche, de sandales et de gants.
- pour leurs propriétés d’absorption des chocs et des sons, par exemple dans des casques et des véhicules blindés
- comme filtre dans des moteurs.
- pour filtrer l’eau et le vin de palme (Ghana).
- pour brosser les vêtements (Afrique centrale).
- pour la bio-adsorption de métaux lourds à partir des eaux usées de raffinerie d’huile d’olive et d’autres eaux usées.

Propriétés médicinales

Les composés chimiques de la plante ont des effets

- antihistaminiques (modérateurs des réactions d’hypersensibilité)
- antiasthmatique
- antitussifs et expectorant
- immunostimulants,
- anti-inflammatoires
- ocytociques (inducteurs de contraction utérine pour accélérant l’accouchement).
- antitumoraux
- antiviraux

Différentes parties de la Luffa cylindrica sont utilisées en médecine populaire pour traiter les affections respiratoires telles que la bronchite chronique, l’asthme, la sinusite, la douleur, l’inflammation, la pharyngite et la rhinite.

Partap S, Kumar A, Sharma NK, Jha KK. « Luffa cylindrica : An important medicinal plant. » J Nat Prod Plant Resource. 2012 ; 2(1):127-134.

Les extraits aqueux et éthanolique ont montré des effets antiasthmatiques, antitussifs et expectorants. L’administration orale et intrapéritonéale d’extraits a supprimé la toux induite par les aérosols de dioxyde de soufre et d’ammonium et a augmenté l’excrétion de phénol dans les voies respiratoires chez les souris.
L’administration intrapéritonéale de décoction d’extraits de L. cylindrica inhibe l’asthme induit par l’histamine. Ces faits scientifiques soutiennent son utilisation traditionnelle dans le traitement de l’asthme.

Muthumani P, Meera R, Subin M, Jeenamathew DP, Kameswari B, Eswara PB. « Phytochemical screening and anti- inflammatory, bronchodilator and antimicrobial activities of the seeds of Luffa cylindrical. Res J Pharm Biol & Chem Sci. 2010 ;1(4):11-22.

Bor et al (2006) qui ont comparé l’activité antioxydante de 25 légumes ont constaté que l’hémérocalle fraîche suivie du fruit de Luffa ont développée l’activité antioxydante la plus élevée. La présence de composants fonctionnels comme les polyphénols pourrait être responsable de cet effet

[Bor JY, Chen HY and Yen GC. « Evaluation of antioxidant activity and inhibitory effect on nitric oxide production of some common vegetables ». Journal of Agricultural and Food Chemistry 2006 ; 54(5):1680-1686.].

Israt Jahan Bulbul et al (2011) ont étudié les activités antioxydantes, antibactériennes et cytotoxiques des extraits de feuilles de n-hexane, de chloroforme et d’acétate d’éthyle. Sur la base des résultats obtenus, les chercheurs suggèrent que les extraits de feuilles de luffa peuvent être une source potentielle d’antioxydants naturels, de composés antimicrobiens et d’agents anticancéreux à utiliser respectivement dans le traitement de divers troubles oxydatifs, de maladies infectieuses causées par des micro-organismes résistants et du cancer.

Israt Jahan Bulbul et al, Comparative Study of In vitro Antioxidant, Antibacterial and Cytotoxic Activity of Two Bangladeshi Medicinal Plants- Luffa cylindrica L. and Luffa acutangula, Pharmacognosy Journal, volume 3, issue 23 (2011)

Usages médicinaux traditionnels

Exemple d’indications et préparations associées en médecine traditionnelle africaine :

- cicatrisation des plaies, maturation des abcès, soin des œdèmes : pâte de feuilles ou tiges feuillées en application locale. (Congo, Gabon, Togo)

- œdèmes : pulpe du fruit en application locale (Guinée)

- émollient : pulpe du fruit en application locale (Guinée, Nigeria)

- problèmes cutanés : huile des graines

- constipation : préparations à base de racines

- maux d’estomac  : décoction de feuilles (Afrique du Sud).

- problèmes intestinaux : préparation à base de feuilles (Guinea-Bissau)

- maux d’estomac : jus de feuilles pilées avec de l’eau en voie orale (Rwanda)

- antiparasite (oxyurose) : feuilles pilées pro recto (République centrafricaine)

- antiparasite (filaires) : jus de feuilles (Congo)

- purgatif puissant : jus des fruits

- maladies du foie : décoction de feuilles (Togo)

- migraines : macérât de feuilles en bain de tête (RDC)

- blennorragie : macérât de feuilles en voie orale ou lavement (RDC)

- tumeurs : pulpe du fruit en application locale (Guinée)

- cancer : fruit et feuilles en infusion et en cataplasme (Sud-ouest du Nigeria)

- cancer du nez  : préparation à base de racines (Gabon)

- facilitation de l’accouchement (effet ocytocique) : préparation à base de feuilles (Ouganda)

- abortif : décoction de racines et de feuilles en voie orale ou en lavement (RDC)
[en Tanzanie la décoction de racines et du jus de feuilles sont répertoriés comme étant bus pour réduire le risque d’avortement. mais cet usage semble douteux au égard aux propriétés ocytociques éprouvées de la plante]

- coqueluche : macération aqueuse de feuilles fraîches (Congo)

Culture des Luffa

Luffa a besoin de soleil, de chaleur, de l’humidité. Luffa, comme toutes les Cucurbitacées apprécie les sols bien amendés en matière organique : compost, du fumier, etc. On peut même faire pousser la courge éponge sur un tas de compost en décomposition installé à l’air libre.

Semis

La plante est propagée par semis. Pour faciliter la germination, on peut tremper les graines dans de l’eau chaude pendant 24 h ou les scarifier.

On enterre les graines de 1 à 2 cm dans un substrat riche et drainant (terreau horticole additionné de sable). La durée de germination peut varier de 4 jours à 2 semaines selon les conditions.

Le plant peut être repiquée lorsqu’il a émis au moins deux feuilles normales. Si les plants ont été cultivés dans des milieu protégés. Il faut les exposer en plein air durant les deux jours qui précèdent la plantation en pleine terre, pour atténuer le choc de transplantation, sortez le pot

Semez des poquets de 3-4 graines ou installez de jeunes plants espacés de 1 à 2 m.

Lors du semis, fertilisez uniquement avec de l’engrais azoté comme du sang desséché puis après le repiquage, employez un engrais complet de façon à ne pas induire une floraison précoce qui limiterait la croissance de la plante.

Pour réaliser une culture à grande échelle, on conseille de semer les graines en ligne tous les 30 à 45 cm sur des rangs distants de 1,20 à 1,80 m d’aérer le sol sur une profondeur d’environ 1 m puis creuser une fosse de 30 cm de diamètre. On conseille également d’élaguer les rameaux latéraux pour favoriser la croissance de la tige principale, et ne pas permettre la croissance de plus de 20–25 fruits par tige.

Des rapports provenant d’Inde et du Japon montrent que Luffa cylindrica peut produire plus de 62 000 fruits/ha à une densité de 11 000 pieds/ha, le nombre de fruits par plante étant limité à 5–6.

Dans des peuplements naturels, le nombre de fruits produits par plante peut être beaucoup plus élevé que 6. Par exemple, un rapport de la Colombie indiquait qu’avec 5300 pieds/ha la production était de 200 000 fruits/ha avec une taille de fruit de 30–90 cm × 8–12 cm et un cycle de culture de 15 mois.

Luffa peut aussi se cultiver en container d’au moins 20 litres dotés d’une couche de drainage (graviers, tessons de poterie…) au fond du récipient puis remplis de compost si possible en cours de décomposition ou d’un terreau neutre à légèrement alcalin. Un peu de chaux ou dolomies peut être rajouté si le sol est trop acide.

Si la plante ne dispose pas d’une treille ou d’uns grille pour grimper, elle va ramper au sol, et ses fruits ne pourrons pas se développer de manière optimale.
Il est toujours souhaitable préférable de la faire grimper afin que les fruits puissent s’allonger sans gêne d’autant que les plants sont généralement assez vigoureux. Sur le sol, les fruits ont souvent une forme courbée.

Conduite

On arrosera peu mais régulièrement.

En cours de croissance, il est possible de tailler les tiges trop vigoureuses qui peuvent attendre 10 m de long. Pour cela, on pince la tige principale si elle atteint la hauteur du tuteur afin de favoriser les ramifications.

Récolte

Les fruits pour la consommation doivent être récoltés avant de devenir fibreux ; leur récolte débute 2 mois après la plantation, lorsque le fruit est ferme et ne mesure pas plus de 12 cm. Il se consomme comme la courgette, cru, sauté, à la vapeur, en soupe ou préparé au vinaigre comme des cornichons. Les fruits immatures se conservent mal et doivent être commercialisés ou préparés pour la consommation dès qu’ils sont récoltés.

Les fruits mûrs à utiliser pour leurs fibres sont récoltés 3–6 mois après le semis lorsque leur enveloppe est brune ou qu’elle se fendille. Il suffit alors de déchirer l’épiderme pour en dégager l’éponge et de couper l’une des extrémités pour extraire les graines.

Traitement des éponges

Pour l’utiliser en tant qu’éponge végétale, les fruits entiers sont parfois mis à tremper dans l’eau pendant plusieurs jours avant d’être épluchés et nettoyés de leurs graines.

L’intérieur peut être blanchi dans l’eau bouillante. Cette opération, est réputée prolonger la durée d’utilisation des éponges. Les pains de fibres sont aussi souvent aseptisés en les plongeant dans de dans du peroxyde d’hydrogène ou de l’eau de Javel afin aussi d’obtenir une couleur blanche.

Maladies, nuisibles et parasites

Contrairement aux autres Cucurbitacées, le luffa est rarement atteint par l’oïdium. En revanche les limaces apprécient les jeunes plants.

Mis en ligne par La vie re-belle
 28/02/2021
 http://lavierebelle.org/luffa-cylindrica-icyangwe

Plantes de l’Afrique des Grands Lacs

Description des plantes adventices et cultivées en Afrique de l’Est et présentation de leurs propriétés et de leurs usages traditionnels et potentiels

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